Emploi – Planète bureau https://www.planete-bureau.fr emploi & entreprise Wed, 13 Nov 2024 06:23:01 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.5.5 https://www.planete-bureau.fr/wp-content/uploads/2021/11/cropped-icon-32x32.png Emploi – Planète bureau https://www.planete-bureau.fr 32 32 Les étapes à suivre pour devenir photographe-vidéaste https://www.planete-bureau.fr/les-etapes-a-suivre-pour-devenir-photographe-videaste/ https://www.planete-bureau.fr/les-etapes-a-suivre-pour-devenir-photographe-videaste/#respond Wed, 13 Nov 2024 06:16:27 +0000 https://www.planete-bureau.fr/?p=433 Prendre des photos est une passion qui anime plusieurs personnes. Le photographe est classé comme l’un des métiers préférés des Français. C’est aussi un métier en vogue un peu partout dans le monde.

Technique photo

Comme la photographie est une passion, il nécessite sûrement la maîtrise de certaines techniques.
– Savoir comment utiliser le mode manuel, dans quel moment jouer avec les iso, la vitesse ou l’ouverture en résultat que vous souhaitez et la luminosité que vous avez.
– Savoir ce qu’on doit faire dans les situations beaucoup plus complexes (de basse luminosité, de contraste de lumière élevé entre les différents plans, contre-jour,…)
– Réaliser des images avec la mise au point concentrée.
– Savoir les règles de cadrage.
– Bien manier un logiciel de traitement d’image ou de vidéo comme Adobe, Lightroom, Aperture, et Photoshop

Les outils

Maîtriser les techniques de la photographie est insuffisant, lorsque l’on ne possède pas de bons matériels. Il faut reconnaître que l’acquisition d’un appareil photo de bonne qualité est le secret d’un résultat parfait. Si vous voulez devenir un photographe-vidéaste, sachez que votre professionnalisme doit se voir à travers vos outils. Prévoir des batteries de rechange pour l’appareil fait partie des éléments de vigilance. Pour mener à bien votre travail, il est impératif de vérifier l’état de vos appareils avant la prise de contrat. C’est surtout le cas des photographes et vidéastes événementiels. Avoir une carte graphique performante sur soi est idéal pour parfaire les rendus photographiques. Vous devez également vous munir d’une carte mémoire de grande capacité pour éviter les pertes d’image. Sur le traitement des images, veillez à perfectionner les sondes de calibration pour garder la naturalité des couleurs. L’utilisation du flash est aussi sollicitée pour améliorer la qualité de la photo en fonction de l’orientation (strobist, lumière naturelle, studio).

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Prendre des photos est une passion qui anime plusieurs personnes. Le photographe est classé comme l’un des métiers préférés des Français. C’est aussi un métier en vogue un peu partout dans le monde.

Technique photo

Comme la photographie est une passion, il nécessite sûrement la maîtrise de certaines techniques.
– Savoir comment utiliser le mode manuel, dans quel moment jouer avec les iso, la vitesse ou l’ouverture en résultat que vous souhaitez et la luminosité que vous avez.
– Savoir ce qu’on doit faire dans les situations beaucoup plus complexes (de basse luminosité, de contraste de lumière élevé entre les différents plans, contre-jour,…)
– Réaliser des images avec la mise au point concentrée.
– Savoir les règles de cadrage.
– Bien manier un logiciel de traitement d’image ou de vidéo comme Adobe, Lightroom, Aperture, et Photoshop

Les outils

Maîtriser les techniques de la photographie est insuffisant, lorsque l’on ne possède pas de bons matériels. Il faut reconnaître que l’acquisition d’un appareil photo de bonne qualité est le secret d’un résultat parfait. Si vous voulez devenir un photographe-vidéaste, sachez que votre professionnalisme doit se voir à travers vos outils. Prévoir des batteries de rechange pour l’appareil fait partie des éléments de vigilance. Pour mener à bien votre travail, il est impératif de vérifier l’état de vos appareils avant la prise de contrat. C’est surtout le cas des photographes et vidéastes événementiels. Avoir une carte graphique performante sur soi est idéal pour parfaire les rendus photographiques. Vous devez également vous munir d’une carte mémoire de grande capacité pour éviter les pertes d’image. Sur le traitement des images, veillez à perfectionner les sondes de calibration pour garder la naturalité des couleurs. L’utilisation du flash est aussi sollicitée pour améliorer la qualité de la photo en fonction de l’orientation (strobist, lumière naturelle, studio).

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Les secteurs les plus prometteurs pour travailler à l’international https://www.planete-bureau.fr/les-secteurs-les-plus-prometteurs-pour-travailler-a-linternational/ https://www.planete-bureau.fr/les-secteurs-les-plus-prometteurs-pour-travailler-a-linternational/#respond Tue, 29 Oct 2024 09:12:39 +0000 https://www.planete-bureau.fr/?p=419 Vous souhaitez travailler à l’étranger ? Notez que de nombreuses opportunités pourront s’offrir à vous. En outre, il est plus avantageux de prioriser les secteurs suivants pour bien vous en sortir.

La restauration

L’hôtellerie-restauration est souvent considérée comme étant un travail de vacances par certaines personnes. Les jeunes en particulier n’ont pas tendance à penser à ce secteur surtout quand ils décident de travailler à l’extérieur. Sachez dorénavant que l’hôtellerie-restauration peut vous ouvrir la porte à d’innombrables opportunités. Vous pouvez parfaitement lancer une carrière internationale dans ce domaine. De plus, le secteur ne demande pas beaucoup de conditions pour vous lancer. En effet, un simple CAP peut suffire pour vous investir dans le domaine de l’hôtellerie-restauration à l’étranger. Vous aurez toujours l’opportunité de suivre d’autres formations à l’avenir. Votre expérience à l’extérieur ajoutera aussi une bonne plus-value sur votre CV.

Le transport et fret

Notez que le secteur de transport et fret ne se limite pas aux métiers de conducteurs ou de contrôleurs. Vous avez parfaitement la possibilité d’exploiter d’autres pistes surtout si vous souhaitez travailler sur le plan international. De plus, le secteur peut ouvrir la porte à de nombreux diplômés en allant du CAP ou Bac+5. Vous pouvez par exemple vous engager en tant que travailleur dans un métier technique. Il y a aussi le poste de responsable de business Unit ainsi que le chargé de projet sur les tramways. À noter que vous allez pouvoir profiter d’une bonne rémunération dans le domaine du transport et fret.

Le secteur de la vente

Une autre option que vous allez pouvoir exploiter est le secteur de la vente. De nombreuses opportunités peuvent être offertes dans ce domaine. D’ailleurs, vous arriverez à vous en sortir facilement sur le marché même à l’étranger. N’oublier que le secteur de la vente est un véritable facteur de croissance pour les entreprises. Vous allez pouvoir profiter de votre expérience à l’étranger pour booster votre CV. Autrement dit, vous aurez plus de facilité à trouver un travail dans le secteur de la vente si vous revenez au pays à l’avenir. Vous avez aussi la possibilité de créer votre propre entreprise si vous êtes sûr de vos forces.

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Vous souhaitez travailler à l’étranger ? Notez que de nombreuses opportunités pourront s’offrir à vous. En outre, il est plus avantageux de prioriser les secteurs suivants pour bien vous en sortir.

La restauration

L’hôtellerie-restauration est souvent considérée comme étant un travail de vacances par certaines personnes. Les jeunes en particulier n’ont pas tendance à penser à ce secteur surtout quand ils décident de travailler à l’extérieur. Sachez dorénavant que l’hôtellerie-restauration peut vous ouvrir la porte à d’innombrables opportunités. Vous pouvez parfaitement lancer une carrière internationale dans ce domaine. De plus, le secteur ne demande pas beaucoup de conditions pour vous lancer. En effet, un simple CAP peut suffire pour vous investir dans le domaine de l’hôtellerie-restauration à l’étranger. Vous aurez toujours l’opportunité de suivre d’autres formations à l’avenir. Votre expérience à l’extérieur ajoutera aussi une bonne plus-value sur votre CV.

Le transport et fret

Notez que le secteur de transport et fret ne se limite pas aux métiers de conducteurs ou de contrôleurs. Vous avez parfaitement la possibilité d’exploiter d’autres pistes surtout si vous souhaitez travailler sur le plan international. De plus, le secteur peut ouvrir la porte à de nombreux diplômés en allant du CAP ou Bac+5. Vous pouvez par exemple vous engager en tant que travailleur dans un métier technique. Il y a aussi le poste de responsable de business Unit ainsi que le chargé de projet sur les tramways. À noter que vous allez pouvoir profiter d’une bonne rémunération dans le domaine du transport et fret.

Le secteur de la vente

Une autre option que vous allez pouvoir exploiter est le secteur de la vente. De nombreuses opportunités peuvent être offertes dans ce domaine. D’ailleurs, vous arriverez à vous en sortir facilement sur le marché même à l’étranger. N’oublier que le secteur de la vente est un véritable facteur de croissance pour les entreprises. Vous allez pouvoir profiter de votre expérience à l’étranger pour booster votre CV. Autrement dit, vous aurez plus de facilité à trouver un travail dans le secteur de la vente si vous revenez au pays à l’avenir. Vous avez aussi la possibilité de créer votre propre entreprise si vous êtes sûr de vos forces.

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Comment choisir votre métier ? https://www.planete-bureau.fr/comment-choisir-votre-metier/ https://www.planete-bureau.fr/comment-choisir-votre-metier/#respond Fri, 24 May 2024 14:26:36 +0000 https://www.planete-bureau.fr/?p=392 Le choix de votre métier n’est pas une chose à prendre à la légère. C’est ce qui vous permettra de gagner votre vie. C’est aussi la base du choix de votre cursus scolaire et universitaire. Et, à priori, vous allez l’exercer jusqu’à votre départ en retraite, à savoir pendant des dizaines d’années. Alors, comment en bien faire le choix ? Le point.

Commencer par des questions sur vous-même

Vous êtes celui qui est le plus touché par ce choix. C’est vous qui allez devoir suivre les formations et exercer par la suite ledit métier. Il est donc normal de commencer par des questions sur vous-même.
Comme on dit : « on ne travaille pas vraiment, quand on fait ce que l’on aime ». Alors, pour commencer : qu’est-ce qui vous passionne ? Il est désormais possible de rentabiliser n’importe quelle passion, et ce, avec quelques formations et un peu de patience. Tout dépend aussi du fait que vous ayez le goût du risque ou non.
Au-delà de cela, posez-vous des questions sur vos réelles compétences, sur vos atouts, vos capacités, etc. Cela vous permettra de réduire le champ de recherche de manière considérable.

Participer à des salons

Pour les jeunes comme pour ceux qui souhaitent se reconvertir, les salons des métiers sont des incontournables. C’est le lieu idéal pour faire rapidement un sondage de métier. Plusieurs professionnels, avec des années d’expérience dans leur domaine respective, vous présentent leur branche et leur travail. De quoi vous permettre d’en effacer certains de votre liste de possibilité et de donner à la priorité à d’autres.
Il n’y a rien de tel que les avis de ceux qui connaissent réellement le métier pour vous guider. Cela vaut le coup de payer la dizaine d’euros pour votre entrée.

Faites une évaluation du marché

La tendance du marché peut également impacter sur votre décision. Selon les tensions dans certains secteurs, la concurrence dans certaines branches et les estimations des analystes, vous pouvez choisir simplement et rapidement votre futur métier. Choisir un domaine qui a de l’avenir est de mise. C’est un filet de sécurité pour vous mettre à l’abri des déboires financiers dans le futur.

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Le choix de votre métier n’est pas une chose à prendre à la légère. C’est ce qui vous permettra de gagner votre vie. C’est aussi la base du choix de votre cursus scolaire et universitaire. Et, à priori, vous allez l’exercer jusqu’à votre départ en retraite, à savoir pendant des dizaines d’années. Alors, comment en bien faire le choix ? Le point.

Commencer par des questions sur vous-même

Vous êtes celui qui est le plus touché par ce choix. C’est vous qui allez devoir suivre les formations et exercer par la suite ledit métier. Il est donc normal de commencer par des questions sur vous-même.
Comme on dit : « on ne travaille pas vraiment, quand on fait ce que l’on aime ». Alors, pour commencer : qu’est-ce qui vous passionne ? Il est désormais possible de rentabiliser n’importe quelle passion, et ce, avec quelques formations et un peu de patience. Tout dépend aussi du fait que vous ayez le goût du risque ou non.
Au-delà de cela, posez-vous des questions sur vos réelles compétences, sur vos atouts, vos capacités, etc. Cela vous permettra de réduire le champ de recherche de manière considérable.

Participer à des salons

Pour les jeunes comme pour ceux qui souhaitent se reconvertir, les salons des métiers sont des incontournables. C’est le lieu idéal pour faire rapidement un sondage de métier. Plusieurs professionnels, avec des années d’expérience dans leur domaine respective, vous présentent leur branche et leur travail. De quoi vous permettre d’en effacer certains de votre liste de possibilité et de donner à la priorité à d’autres.
Il n’y a rien de tel que les avis de ceux qui connaissent réellement le métier pour vous guider. Cela vaut le coup de payer la dizaine d’euros pour votre entrée.

Faites une évaluation du marché

La tendance du marché peut également impacter sur votre décision. Selon les tensions dans certains secteurs, la concurrence dans certaines branches et les estimations des analystes, vous pouvez choisir simplement et rapidement votre futur métier. Choisir un domaine qui a de l’avenir est de mise. C’est un filet de sécurité pour vous mettre à l’abri des déboires financiers dans le futur.

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Les différents types de contrats de travail https://www.planete-bureau.fr/les-differents-types-de-contrats-de-travail/ https://www.planete-bureau.fr/les-differents-types-de-contrats-de-travail/#respond Mon, 19 Jul 2021 12:45:55 +0000 http://www.planete-bureau.fr/?p=235 Avant de signer pour une entreprise, le futur salarié doit prendre le temps de vérifier le type de contrat qui lui sera proposé. Chaque contrat possède des termes précis et dépend du profil du salarié.

Le contrat à durée indéterminée (CDI)

Le CDI est considéré comme étant la forme normale du contrat de travail. Comme son nom l’indique, il est impossible de définir avec précision le terme du contrat. De ce fait, l’employeur et l’employé doivent respecter les clauses évoquées dans le document. Une rupture du contrat peut se faire à la demande des deux parties. Mais, cela doit se faire en respectant certaines conditions afin d’éviter une rupture de contrat abusive.

Le contrat à durée déterminée (CDD)

La particularité du CDD concerne le fait que le salarié et l’employeur savent déjà la fin du contrat avant même de le signer. Il n’y a pas une obligation de mettre un « terme précis » dans le contrat. En outre, ce contrat temporaire doit être établi pour une raison précise. On peut, par exemple, évoquer le remplacement d’un salarié ou l’attente d’une prise de fonction. Le CDD peut être converti en CDI si l’employeur le juge nécessaire.

Le contrat d’alternance

Le contrat d’alternance peut se présenter sous deux formes. La première option est le contrat d’apprentissage qui est uniquement réservé aux jeunes de 16 à 25 ans. Ce type de contrat évitera à l’employeur de verser une cotisation sociale pour le salarié en question. Vient ensuite le contrat de professionnalisation qui est aussi conçu pour les salariés de 16 à 25 ans. Mais, un travailleur de plus de 25 ans peut prétendre à ce contrat dans l’objectif d’améliorer ses compétences professionnelles.

Le contrat unique d’insertion (CUI)

Tout comme le contrat d’alternance, le CUI peut aussi se présenter sous deux options. On peut évoquer en premier lieu le Contrat d’accompagnement dans l’emploi (CAE) dont la durée minimum est de 6 mois. Ce type de contrat concerne principalement le secteur non marchand. La seconde option est le Contrat initiative emploi (CIE) qui peut courir jusqu’à 24 mois. Ce contrat peut concerner de nombreux secteurs d’activité. En tout cas, l’objectif d’un CUI est d’aider un chômeur à dénicher un travail.

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Avant de signer pour une entreprise, le futur salarié doit prendre le temps de vérifier le type de contrat qui lui sera proposé. Chaque contrat possède des termes précis et dépend du profil du salarié.

Le contrat à durée indéterminée (CDI)

Le CDI est considéré comme étant la forme normale du contrat de travail. Comme son nom l’indique, il est impossible de définir avec précision le terme du contrat. De ce fait, l’employeur et l’employé doivent respecter les clauses évoquées dans le document. Une rupture du contrat peut se faire à la demande des deux parties. Mais, cela doit se faire en respectant certaines conditions afin d’éviter une rupture de contrat abusive.

Le contrat à durée déterminée (CDD)

La particularité du CDD concerne le fait que le salarié et l’employeur savent déjà la fin du contrat avant même de le signer. Il n’y a pas une obligation de mettre un « terme précis » dans le contrat. En outre, ce contrat temporaire doit être établi pour une raison précise. On peut, par exemple, évoquer le remplacement d’un salarié ou l’attente d’une prise de fonction. Le CDD peut être converti en CDI si l’employeur le juge nécessaire.

Le contrat d’alternance

Le contrat d’alternance peut se présenter sous deux formes. La première option est le contrat d’apprentissage qui est uniquement réservé aux jeunes de 16 à 25 ans. Ce type de contrat évitera à l’employeur de verser une cotisation sociale pour le salarié en question. Vient ensuite le contrat de professionnalisation qui est aussi conçu pour les salariés de 16 à 25 ans. Mais, un travailleur de plus de 25 ans peut prétendre à ce contrat dans l’objectif d’améliorer ses compétences professionnelles.

Le contrat unique d’insertion (CUI)

Tout comme le contrat d’alternance, le CUI peut aussi se présenter sous deux options. On peut évoquer en premier lieu le Contrat d’accompagnement dans l’emploi (CAE) dont la durée minimum est de 6 mois. Ce type de contrat concerne principalement le secteur non marchand. La seconde option est le Contrat initiative emploi (CIE) qui peut courir jusqu’à 24 mois. Ce contrat peut concerner de nombreux secteurs d’activité. En tout cas, l’objectif d’un CUI est d’aider un chômeur à dénicher un travail.

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Chômeur et formation rémunérée https://www.planete-bureau.fr/chomeur-et-formation-remuneree/ https://www.planete-bureau.fr/chomeur-et-formation-remuneree/#respond Wed, 22 Mar 2017 17:21:50 +0000 http://www.planete-bureau.fr/?p=27 Pour les personnes sans emploie, suivre une formation augmente leur chance de dénicher du travail. Pour ce faire, elles doivent avant toute chose effectuer une inscription auprès de Pôle Emploi afin de bénéficier le statut de demandeur d’emploi. Le responsable qui prendra en charge le chômeur va constituer avec celui-ci un projet personnalisé d’accès à l’emploi (PPAE) où va être consigné la formation rémunérée.

Les corps tuteurs

De nombreux établissements et collectivités sont favorables pour financer les formations des demandeurs d’emploi. On peut citer Pôle Emploi, les régions, l’Etat, les OPCA. Ceux-ci réunissent les participations budgétaires des entreprises destinées à la rétribution des formations. Le montant alloué peut être utilisé pour payer les frais pédagogiques et celui qui va profiter de la formation.

Une rétribution en fonction de votre situation

Dans le cas où vous étiez actif professionnellement durant 4 mois et 2 jours au cours des 2 ans et 4 mois précédant votre licenciement, vous êtes éligible à la ARE ou allocation d’aide au retour à l’emploi. Pour les personnes ayant profité d’une formation du PPAE, elles peuvent jouir d’une AREF ou allocation d’aide au retour à l’emploi-formation. Pour ceux qui ne peuvent pas obtenir l’ARE, ils ont la possibilité de s’inscrire à une formation parrainée par une administration publique, l’AFPA, le CNAM ou par un établissement non-gouvernemental.

La durée de la formation

Si vous arrivez à prouver que vous avez été actif durant 6 mois au cours d’une période de 1 an, il est de votre droit de bénéficier d’une formation qui dure 1 an au minimum. En même temps, vous percevrez 652,02 € par mois. Dans le cas où vous avez eu un emploi durant 3 ans de façon continue ou entrecoupée, et que vous participez à formation de 1 à 3 ans, vous pourrez profiter d’une indemnité équivaut à l’ARE.

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Pour les personnes sans emploie, suivre une formation augmente leur chance de dénicher du travail. Pour ce faire, elles doivent avant toute chose effectuer une inscription auprès de Pôle Emploi afin de bénéficier le statut de demandeur d’emploi. Le responsable qui prendra en charge le chômeur va constituer avec celui-ci un projet personnalisé d’accès à l’emploi (PPAE) où va être consigné la formation rémunérée.

Les corps tuteurs

De nombreux établissements et collectivités sont favorables pour financer les formations des demandeurs d’emploi. On peut citer Pôle Emploi, les régions, l’Etat, les OPCA. Ceux-ci réunissent les participations budgétaires des entreprises destinées à la rétribution des formations. Le montant alloué peut être utilisé pour payer les frais pédagogiques et celui qui va profiter de la formation.

Une rétribution en fonction de votre situation

Dans le cas où vous étiez actif professionnellement durant 4 mois et 2 jours au cours des 2 ans et 4 mois précédant votre licenciement, vous êtes éligible à la ARE ou allocation d’aide au retour à l’emploi. Pour les personnes ayant profité d’une formation du PPAE, elles peuvent jouir d’une AREF ou allocation d’aide au retour à l’emploi-formation. Pour ceux qui ne peuvent pas obtenir l’ARE, ils ont la possibilité de s’inscrire à une formation parrainée par une administration publique, l’AFPA, le CNAM ou par un établissement non-gouvernemental.

La durée de la formation

Si vous arrivez à prouver que vous avez été actif durant 6 mois au cours d’une période de 1 an, il est de votre droit de bénéficier d’une formation qui dure 1 an au minimum. En même temps, vous percevrez 652,02 € par mois. Dans le cas où vous avez eu un emploi durant 3 ans de façon continue ou entrecoupée, et que vous participez à formation de 1 à 3 ans, vous pourrez profiter d’une indemnité équivaut à l’ARE.

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Quelles études pour devenir électricien ? https://www.planete-bureau.fr/quelles-etudes-pour-devenir-electricien/ https://www.planete-bureau.fr/quelles-etudes-pour-devenir-electricien/#respond Wed, 09 Nov 2016 12:52:49 +0000 http://www.planete-bureau.fr/?p=26 Le monde cesserait de tourner sans l’électricité. Qu’il vienne d’un réseau ou d’une centrale autonome, le courant est indispensable au quotidien. Le spécialiste de cette source d’énergie a une certaine importance. Ce professionnel a toutefois besoin de disposer de bonnes qualifications. Voici les formations qu’il peut suivre avant de pratiquer son métier.

Les qualifications de base pour être électricien

Il est possible d’intégrer le métier d’électricien avec un CAP. Le certificat d’aptitude professionnelle est un diplôme qui se prépare en deux ans. La formation est ouverte aux personnes ayant fait les premières années de collège. L’option Préparation et Réalisation d’ouvrages électriques permet d’apprendre les bases de la profession. Le titulaire du CAP devrait pouvoir assister un autre électricien. Il peut également exécuter certaines tâches sous le contrôle d’un supérieur. C’est un poste évolutif, mais l’autonomie ne viendra pas avant longtemps.

Intégrer la profession avec une formation de niveau Brevet

Le titulaire du brevet d’étude professionnel ou BEP en électricité est beaucoup plus autonome. Cette qualification s’obtient après une formation de deux ans pour les personnes ayant le CAP. Plusieurs options sont disponibles. Le technicien peut choisir de travailler dans le domaine des installations et des équipements électriques. Il a également la possibilité d’opter pour la branche électrotechnique, énergie ainsi qu’équipements communicants. Une autre filière concerne l’électricité industrielle.

Quelques études supérieures pour une belle carrière

Pour les électriciens qui occupent un poste à responsabilité, il vaut mieux disposer d’un diplôme de niveau III. C’est aussi la qualification idéale pour s’établir à leur compte. En d’autres mots, ces professionnels ont intérêt à décrocher un BTS électrotechnique ou en domotique. D’autres mentions existent, notamment la maintenance industrielle. Outre la connaissance des techniques, de solides notions en normes de sécurité sont indispensables. Pour les formations de niveau universitaire, un peu de formation en gestion devrait aussi compléter le cursus.

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Le monde cesserait de tourner sans l’électricité. Qu’il vienne d’un réseau ou d’une centrale autonome, le courant est indispensable au quotidien. Le spécialiste de cette source d’énergie a une certaine importance. Ce professionnel a toutefois besoin de disposer de bonnes qualifications. Voici les formations qu’il peut suivre avant de pratiquer son métier.

Les qualifications de base pour être électricien

Il est possible d’intégrer le métier d’électricien avec un CAP. Le certificat d’aptitude professionnelle est un diplôme qui se prépare en deux ans. La formation est ouverte aux personnes ayant fait les premières années de collège. L’option Préparation et Réalisation d’ouvrages électriques permet d’apprendre les bases de la profession. Le titulaire du CAP devrait pouvoir assister un autre électricien. Il peut également exécuter certaines tâches sous le contrôle d’un supérieur. C’est un poste évolutif, mais l’autonomie ne viendra pas avant longtemps.

Intégrer la profession avec une formation de niveau Brevet

Le titulaire du brevet d’étude professionnel ou BEP en électricité est beaucoup plus autonome. Cette qualification s’obtient après une formation de deux ans pour les personnes ayant le CAP. Plusieurs options sont disponibles. Le technicien peut choisir de travailler dans le domaine des installations et des équipements électriques. Il a également la possibilité d’opter pour la branche électrotechnique, énergie ainsi qu’équipements communicants. Une autre filière concerne l’électricité industrielle.

Quelques études supérieures pour une belle carrière

Pour les électriciens qui occupent un poste à responsabilité, il vaut mieux disposer d’un diplôme de niveau III. C’est aussi la qualification idéale pour s’établir à leur compte. En d’autres mots, ces professionnels ont intérêt à décrocher un BTS électrotechnique ou en domotique. D’autres mentions existent, notamment la maintenance industrielle. Outre la connaissance des techniques, de solides notions en normes de sécurité sont indispensables. Pour les formations de niveau universitaire, un peu de formation en gestion devrait aussi compléter le cursus.

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